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Violences dans le football français : "Il y a une forme de violence de plus en plus 'anarchique'", selon Nicolas Kssis-Martov, journaliste au magazine SoFoot

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Violences dans le football français : “il y a une forme de violence de plus en plus ‘anarchique’”, selon Nicolas Kssis-Martov, journaliste au magazine SoFoot et spécialiste des violences dans le football.
Violences dans le football français : “il y a une forme de violence de plus en plus ‘anarchique’”, selon Nicolas Kssis-Martov, journaliste au magazine SoFoot et spécialiste des violences dans le football. Violences dans le football français : “il y a une forme de violence de plus en plus ‘anarchique’”, selon Nicolas Kssis-Martov, journaliste au magazine SoFoot et spécialiste des violences dans le football. (FRANCEINFO)
Article rédigé par franceinfo - J. Benedetto
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Lors du dernier match de football entre Marseille et Lyon, des violences ont éclaté. Même phénomène à Montpellier, ou encore une bouteille jetée sur le footballeur Dimitri Payet. Comment expliquer l'exacerbation des violences dans le foot français ? Nicolas Kssis-Martov, journaliste à SoFoot et spécialiste des violences dans le football, était l'invité du 19/20 info.

"Il faut bien distinguer les choses, parce que toutes les formes de violences ne sont pas identiques et n'ont pas les mêmes sources. Il y a clairement une forme de violence de plus en plus 'anarchique'", analyse Nicolas Kssis-Martov, journaliste au magazine SoFoot et spécialiste des violences dans le football.

"Il y a un manque d'anticipation"

Selon le journaliste, il y a également davantage de violences venant de la mouvance hooligan de l'extrême droite. "Il y a le climat social, l'ambiance générale, le fait qu'on touche à un public très jeune dans les stades, et plutôt populaire, ce sont des facteurs qui peuvent y contribuer", selon le journaliste. On se souvient également des violences au Stade de France avant la finale de la Ligue des champions. "Il y a une vraie problématique, ce qu'il s'est produit autour du Stade de France, ça a été une défaillance de la gestion des supporters (...) il y a eu un manque d'anticipation, on manque de compétences pour anticiper ces situations", affirme le spécialiste des violences dans le football.

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