Cet article date de plus d'onze ans.
Atelier du monde, le Bangladesh compte ses morts
Publié le 09/05/2013 11:16
Mis à jour le 09/05/2013 13:49
L'effondrement d'un immeuble abritant des usines textiles, il y a deux semaines à Dacca, est la plus grande catastrophe industrielle de l'histoire du Bangladesh. Le bilan a dépassé les 900 morts, jeudi 9 mai.
Contenu sensible
afficher le contenu
Les secours évacuent de premiers corps du Rana Plaza, le 24 avril 2013, à Savar, après l'effondrement de cet immeuble de neuf étages. (MUNIR UZ ZAMAN / AFP)
La veille de l'accident, des ouvriers avaient signalé des fissures sur le bâtiment. Leur employeur les avait malgré tout forcés à embaucher. (MUNIR UZ ZAMAN / AFP)
Les écroulements d'immeubles sont fréquents dans ce pays défavorisé d'Asie du Sud, où les normes de construction sont rarement respectées. (MUNIR UZ ZAMAN / AFP)
Deux jours après l'effondrement de l'immeuble, une femme montre le portrait de sa jumelle disparue. La plupart des victimes sont des femmes, parfois très jeunes. (MUNIR UZ ZAMAN / AFP)
Des volontaires se reposent avant de reprendre les opérations de sauvetage, menées de jour comme de nuit. (MUNIR UZ ZAMAN / AFP)
Le 28 avril, des secouristes poursuivent leurs efforts à la recherche de survivants, dans un trou aménagé pour leurs opérations. ( REUTERS)
Un homme est évacué des décombres, vivant, soixante heures après l'effondrement de l'immeuble. ( AFP FDF)
Des policiers en civil tentent de disperser une manifestation d'ouvriers du textile, qui protestent après la mort de leurs collègues, le 26 avril. ( AFP PHOTO / FAMILLE RODRIGUEZ)
Le magnat de l'immobilier Sohel Rana, propriétaire du bâtiment effondré, est escorté par la police pour être présenté à la justice, le 30 avril, à Dhaka. Il a été arrêté alors qu'il tentait de fuir vers l'Inde voisine. ( AFP )
Une fillette assiste aux obsèques d'ouvriers tués dans l'accident, le 1er mai, à Dacca. (MUNIR UZ ZAMAN / AFP)
Plus de 3 000 employés travaillaient dans l'immeuble le jour du drame. ( AFP )
Des enfants se couvrent le nez, alors qu'ils se tiennent devant les fosses communes où sont enterrées les victimes non identifiées. (ANDREW BIRAJ / REUTERS)
Une adolescente de 16 ans, amputée d'une main après 36 heures sous les décombres, est nourrie par sa mère dans un hôpital de Savar, le 4 mai. (ANDREW BIRAJ / REUTERS)
Des secouristes se précipitent à l'écart du Rana Plaza, après que quelqu'un a averti (à tort) de l'effondrement d'un bâtiment voisin, le 26 avril. (ANDREW BIRAJ / REUTERS)
Jeudi 9 mai, le bilan a dépassé les 900 morts. Cette photo, publiée la veille par le site du magazine américain "Time", est devenue la photo emblématique de l'accident. (TIME / FRANCETV INFO)
La main d'un ouvrier dépasse des décombres, le 30 avril, près d'étiquettes de la marque canadienne Joe Fresh. L'immeuble abritait, entre autres, cinq ateliers de confection liés à des marques occidentales. (SAJID HOSSAIN / REUTERS)
Une cliente de la marque de vêtements Primark sort d'une boutique à Londres, le 27 avril, devant des militants qui dénoncent le recours à une main-d'œuvre à bas coûts au Bangladesh. (SUZANNE PLUNKETT / REUTERS)
Partager : l’article sur les réseaux sociaux
Partagez sur whatsApp (nouvel onglet) (Nouvelle fenêtre)
Partagez sur facebook (nouvel onglet) (Nouvelle fenêtre)
Partagez par email (Nouvelle fenêtre)
Partagez (Nouvelle fenêtre)
Lancez la conversation
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.