Bourdes au bureau : vos pires souvenirs
« Premier jour de stage : je suis stressé et nerveux. Ma première tâche : faxer tout un dossier pour un client très important. Le lendemain, j'ai un appel de mon responsable : par erreur, j'avais faxé tout le dossier à l'envers. Il n'avait reçu que des pages blanches. On m'a pris pour un abruti jusqu'à la fin de mon stage. »
Martin, stagiaire en communication.
« Je suis professeur de français dans un collège. J'ai laissé un mot sur le carnet d'un élève perturbateur. Le lendemain il me ramène son carnet signé par ses parents sur lequel je peux lire en rouge une faute d'orthographe corrigée sur le mot dissipé. Autant vous dire que je me relis plusieurs fois maintenant. »
Yves, professeur de français.
« A l'agence, un client très exigeant me mettait la pression pour boucler un dossier. J'ai envoyé un mail à mes collègues de travail en me moquant de ses demandes insensées et de son côté tyrannique. Erreur : il a reçu le mail et m'a rappelé dans la minute furieux. Maintenant, je regarde toujours à deux fois l'identité de mon destinataire avant de cliquer sur envoyer. »
Paul, directeur de clientèle« De bon matin, je me rendais au bureau. Sur le chemin, tous les hommes me dévisageaient. Trouvant ça flatteur, je débarque à la réunion hebdomadaire avec confiance et sourire. Ils m'ont tous regardé ébahis jusqu'à ce qu'un client éclate de rire. J'avais gardé mes bigoudis ».
Fanny, chef de produit.
« C'est les vacances : dans les bureaux vides je suis seule avec ma collègue de travail. Notre jeu favori de l'été ? Imiter notre supérieure et son air condescendant. Un matin, je prends sa voix stridente en demandant un café à ma collègue? qui ne semble plus trouver ça drôle. Notre patronne était juste derrière. Déjà fini les vacances ? Pour moi non, c'était ma plus belle erreur et mon dernier jour. »
Lise, standardiste.
« Après une journée difficile au travail, j'ai posté un message sur Facebook en insultant mon patron. Seulement, le mode confidentiel de mon profil n'était pas activé. Tout le monde pouvait y avoir accès et je n'en savais rien. J'ai été avertie la semaine suivante par un courrier froid et formel m'annonçant mon licenciement. »
Mathilde, assistante vétérinaire.
Et vous, quelle est votre pire erreur au travail ?
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.