"Gilets jaunes" : la crise sociale est montée d'un cran
En plateau, samedi 1er décembre en soirée, Nathalie Saint-Cricq constate l'évolution de la crise sociale.
La crise sociale est clairement montée d'un cran samedi 1er décembre, en cette nouvelle journée de mobilisation des "gilets jaunes". "Le gouvernement pouvait espérer que finalement, comme la mobilisation baissait, ça se traduise aujourd'hui sur les Champs-Élysées", explique Nathalie Saint-Cricq, sur le plateau du 20 Heures de France 2.
"Ça a été au-delà de toutes les craintes que pourrait avoir le gouvernement"
"On se doutait bien au gouvernement qu'il y aurait des scènes de radicalisation, mais là, je pense, que ça a été au-delà de toutes les craintes que pourrait avoir le gouvernement", poursuit la journaliste. Et d'ajouter : "Pour l'instant, Emmanuel Macron, qui déteste agir sous la pression, et en plus il est en Argentine, a condamné les actes de violence, en considérant qu'il y a chez les 'gilets jaunes', une colère légitime dit-il, (...) mais que les 'gilets jaunes' qui ont pu déborder n'ont aucun rapport avec cela."
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