Vins effervescents : une IGP pour les mousseux de Lorraine

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 3min
C’est une victoire pour les vignerons de Lorraine. Les vins effervescents de la région disposent maintenant d’une Indication Géographique Protégée (IGP), un gage de reconnaissance pour leur travail mais aussi pour leur savoir-faire. Il s’agit aussi d’un argument de vente non négligeable.
Vins effervescents : une IGP pour les mousseux de Lorraine C’est une victoire pour les vignerons de Lorraine. Les vins effervescents de la région disposent maintenant d’une Indication Géographique Protégée (IGP), un gage de reconnaissance pour leur travail mais aussi pour leur savoir-faire. Il s’agit aussi d’un argument de vente non négligeable. (France 2)
Article rédigé par France 2 - C. Arnold, A. Husser, B. Tanguy
France Télévisions
France 2
C’est une victoire pour les vignerons de Lorraine. Les vins effervescents de la région disposent maintenant d’une Indication Géographique Protégée (IGP), un gage de reconnaissance pour leur travail mais aussi pour leur savoir-faire. Il s’agit aussi d’un argument de vente non négligeable.

Il représente un petit vignoble à l’échelle de la France. Pourtant, 300 hectares y sont éparpillés entre trois départements, de la Meuse à la Moselle et à la Meurthe-et-Moselle. Le vignoble lorrain vient de recevoir une nouvelle reconnaissance, une Indication Géographique Protégée (IGP) pour les vins mousseux. “C’est important pour nous de pouvoir continuer à faire nos bulles comme on le faisait avant mais avec le mot Lorraine en plus indiqué sur la bouteille”, se réjouit un vigneron de la région.

Une ancienne tradition vigneronne

Jusqu’à présent, seule l’adresse de l’exploitation pouvait être indiquée sur la bouteille. Désormais, grâce à l’IGP, c’est un savoir-faire et une histoire auxquels pourront se revendiquer les vignobles lorrains. Au début du XXe siècle, ils étaient d’ailleurs parmi les plus importants en France. Une tradition viticole aujourd’hui relancée par quelques vignerons passionnés.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.