Alerte enlèvement : un bébé de 17 jours né prématurément est recherché

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Le nourrisson, âgé de seulement 17 jours, aurait été enlevé par ses parents, lundi 21 octobre au soir. Né près de deux mois avant le terme de la grossesse, il nécessite une prise en charge médicale.
Alerte enlèvement : un bébé de 17 jours né prématurément est recherché Le nourrisson, âgé de seulement 17 jours, aurait été enlevé par ses parents, lundi 21 octobre au soir. Né près de deux mois avant le terme de la grossesse, il nécessite une prise en charge médicale. (France 2)
Article rédigé par France 2 - P. Mauger, M. De Chalvron, M. Boisseau, E. Pelletier, M. Birden, L. Pekez, A. Da Silva
France Télévisions
France 2
Le nourrisson, âgé de seulement 17 jours, aurait été enlevé par ses parents, lundi 21 octobre au soir. Né près de deux mois avant le terme de la grossesse, il nécessite une prise en charge médicale.

Plus de douze heures après son enlèvement, un nourrisson reste toujours introuvable, mardi 22 octobre. Les enquêteurs ont été avertis de sa disparition lundi soir, peu avant minuit. À seulement 17 jours, Santiago, né prématuré, était hospitalisé dans le service de néonatologie de la maternité d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). La photo de ses parents, activement recherchés, figure sur l'alerte enlèvement. Sa mère a 25 ans, son père 23 ans.

Le couple n'a pas d'adresse connue

D'après le personnel de l'hôpital, ils auraient débranché l'appareil chargé de contrôler la respiration et le rythme cardiaque du bébé. Ils ont été filmés par les caméras de surveillance, quittant l'hôpital un sac à la main. Né près de deux mois avant le terme de la grossesse, le nourrisson a besoin d'une prise en charge médicale constante. Le couple n'a pas d'adresse connue, ce qui complique les recherches. Plusieurs camps de la communauté des gens du voyage, à laquelle il appartient, sont fouillés par les enquêteurs.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.