Cet article date de plus de deux ans.

Soutien d'Eric Woerth à Emmanuel Macron : "Il n'y a pas de recroquevillement de notre parti", estime Michel Barnier

Publié
Temps de lecture : 1min
Soutien d'Eric Woerth à Emmanuel Macron : "Il n'y a pas de recroquevillement de notre parti", estime Michel Barnier
Soutien d'Eric Woerth à Emmanuel Macron : "Il n'y a pas de recroquevillement de notre parti", estime Michel Barnier Soutien d'Eric Woerth à Emmanuel Macron : "Il n'y a pas de recroquevillement de notre parti", estime Michel Barnier (France 2)
Article rédigé par France 2
France Télévisions

Michel Barnier, conseiller Europe et Monde de la candidate Les Républicains à la présidentielle Valérie Pécresse, était l'invité des "4 Vérités" de France 2, jeudi 10 février.

Eric Woerth a choisi de soutenir la candidature d'Emmanuel Macron à l'élection présidentielle. Le président LR de la commission des Finances de l’Assemblée nationale évoque, dans Le Parisien, une dérive de sa famille politique, et souhaite "un président d'expérience" et refuse "un parti recroquevillé". Michel Barnier, conseiller Europe et Monde de la candidate Les Républicains à la présidentielle Valérie Pécresse, affirme regretter ce choix. "Surtout, je ne le comprends pas, concède l'ancien commissaire européen sur le plateau des "4 Vérités", jeudi 10 février. Il a été absent de la campagne des primaires, on ne l'a pas beaucoup vu, donc c'est un choix personnel." 

"C'est une déception"

"Je ne comprends pas les mots qu'il a utilisés, poursuit-il. Il n'y a pas de recroquevillement de notre parti. C'est un parti qui a donné une belle démonstration de démocratie, une belle campagne des primaires. J'aurais bien voulu qu'il y participe, qu'il s'y associe." D'autres défections pourraient-elles survenir ? "Je ne crois pas qu'il y aura beaucoup d'autres débauchages, tranche Michel Barnier. Il y a des gens qui ne savent pas ce qu'ils veulent." Le conseiller de Valérie Pécresse estime par ailleurs qu'il ne s'agit pas d'un "vrai problème". "C'est une déception, éventuellement, avance-t-il. Ce que je constate autour de Valérie Pécresse, c'est qu'il y a une équipe, constituée de ceux qui ont été candidats dans la primaire, et j'en faisais partie, qui n'ont pas d'états d'âme (...). Nous avions dit que nous serions derrière celle ou celui qui gagnerait, et nous le sommes." 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.