Le procès de Monflanquin fait référence à l'affaire judiciaire d'une escroquerie hors du commun. Entre 1999 et 2009, la famille de Védrines aurait vécu sous la coupe d'un escroc, qui l'aurait spoliée de tous ses biens. Cette affaire a défrayé la chronique du fait de l'ampleur de la manipulation mentale et de la personnalité de l'accusé, Thierry Tilly. Les « reclus de Monflanquin » devient le surnom de la famille, en référence à son château de Monflanquin (Lot-et-Garonne). Le procès oppose ainsi Thierry Tilly, le gourou présumé, aux reclus dépossédés de tous leurs biens.