Appel à témoignages Vous avez déjà utilisé une intelligence artificielle pour faire un devoir scolaire ? Votre témoignage nous intéresse

Certains élèves utilisent déjà des IA génératives comme ChatGPT pour réaliser des devoirs à leur place. De nombreux enseignants s'inquiètent de ne pas pouvoir détecter de la triche.
Article rédigé par Luc Chagnon
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
Un collégien lors d'une épreuve du brevet, à Lambersart (Nord), le 1er juillet 2024. (THIERRY THOREL / MAXPPP)

Bientôt la fin des devoirs à la maison ? Depuis la sortie de ChatGPT, beaucoup s'inquiètent de voir les intelligences artificielles génératives remplacer les humains dans de nombreux emplois... Mais aussi de représenter l'outil de triche parfait. Au point que les IA sont parfois déjà utilisées par certains élèves pour faire leurs devoirs, à la maison voire en classe. Avec plus ou moins de succès.

A Strasbourg, 135 étudiants ont déjà dû repasser un examen après avoir utilisé ChatGPT. A Nancy, une professeure a refusé de corriger des copies suspectes. En Alsace, un candidat au baccalauréat a été soupçonné de triche. Beaucoup d'enseignants s'inquiètent de ne pouvoir détecter précisément l'usage d'une IA, et que les élèves se reposent sur un outil qui peut raconter n'importe quoi.

Si vous-mêmes, votre enfant ou un proche avez déjà utilisé une IA générative comme ChatGPT pour réaliser un travail scolaire, votre témoignage nous intéresse. Avez-vous rendu le travail de l'IA tel quel ou avez-vous fait des retouches ? Le résultat était-il à la hauteur ? La technique a-t-elle été repérée par l'enseignant ?

Vous pouvez répondre aux questions dans le formulaire ci-dessous et laisser vos coordonnées. Vos réponses resteront confidentielles. Elles seront consultées dans les prochains jours par nos journalistes et pourront donner lieu à une prise de contact directe. Votre autorisation et l'accord de votre enfant sont indispensables avant toute discussion et pour toute publication. Les témoignages pourront être anonymes.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.