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"Photographier les vodous, Togo-Bénin 1988-2019", en 80 clichés

Article rédigé par franceinfo Afrique
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La photographe Catherine De Clippel nous emmène à la découverte des pratiques animistes en milieux rural et urbain.

A partir des années 1980, Catherine De Clippel commence à travailler avec les anthropologues Marc Augé, Jean-Paul Colleyn et Jean-Pierre Dozon en Afrique de l’Ouest. Elle réalise une quinzaine de documentaires et parallèlement commence une démarche photographique sur le vodou. Puis en 2019, l’artiste plasticien Dominique Zinkpè l’invite à poursuivre ce travail.

Le travail de Catherine De Clippel a été publié et exposé dans de nombreux musées en France et à l’étranger.

Ses images, au carrefour de l’anthropologie, de la photo documentaire et de la photo d’art, sont aujourd’hui réunies dans l’ouvrage Photographier les vodous, Togo-Bénin 1988-2019, paru aux Editions de la Maison des sciences de l’homme.

Masques Zangbeto lors d’un défilé (Porto-Novo, Bénin, 2019).     


 (CATHERINE DE CLIPPEL)
Incarnations d’ancêtres igbos (Porto-Novo, Bénin, 2019).   


 (CATHERINE DE CLIPPEL)
Danseuses initiées au vodou Avlekete lors d’une cérémonie de succession (Anfoin, Togo, 1988). Masque Egungun photographié par un smartphone (Porto-Novo, Bénin, 2019).    (CATHERINE DE CLIPPEL)
Notables et photographes lors de la fête du vodou (Allada, Bénin, 2019).      (CATHERINE DE CLIPPEL)
Une invitée à la fête vodou du roi d’Allada (Allada, Bénin, 2019).    (CATHERINE DE CLIPPEL)
Sanctuaire du vodou Djagli et de ses satellites (Séko, Togo, 1989).      (CATHERINE DE CLIPPEL)
L’assistant d’un prêtre vaporise de l’alcool de palme sur le vodou Djagli (Séko, Togo, 1989).    (CATHERINE DE CLIPPEL)
Autels protecteurs en bordure de l’habitation d’un prêtre (Fiata, Togo, 1989).    (CATHERINE DE CLIPPEL)
Adeptes et danseuses du Bénin (Anfoin, Togo, 1988).    (CATHERINE DE CLIPPEL)
Possession d’une fille par le vodou Mama Tchamba (Aklakou, Togo, 1988).      (CATHERINE DE CLIPPEL)

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