Cet article date de plus d'un an.

Gabon : un vent d'espoir pour la première rentrée des classes après le coup d’État

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 1min
Au Gabon, les militaires ont renversé le président Ali Bongo. Le général Brice Oligui Nguema, président de transition, promet de nombreuses réformes, notamment dans le domaine de l’éducation. La rentrée universitaire, mercredi 27 septembre, se fait sous le signe de l’espoir.
Gabon : un vent d'espoir pour la première rentrée des classes après le coup d’État Au Gabon, les militaires ont renversé le président Ali Bongo. Le général Brice Oligui Nguema, président de transition, promet de nombreuses réformes, notamment dans le domaine de l’éducation. La rentrée universitaire, mercredi 27 septembre, se fait sous le signe de l’espoir. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
franceinfo
Au Gabon, les militaires ont renversé le président Ali Bongo. Le général Brice Oligui Nguema, président de transition, promet de nombreuses réformes, notamment dans le domaine de l’éducation. La rentrée universitaire, mercredi 27 septembre, se fait sous le signe de l’espoir.

Retour sur les bancs de l’école, à l’université Omar Bongo de Libreville (Gabon). Ici, les murs sont délabrés, les bourses pour les plus démunis non versées, et les enseignants restent sans salaire pendant parfois plusieurs mois. Sous la présidence des Bongo, le secteur de l’éducation est resté sous-financé. 

L’espoir d’un changement 

Quatre semaines après la chute du régime, les étudiants espèrent un vent nouveau. "Beaucoup abandonnent parce qu’ils n’ont pas de logement au niveau de la capitale, parce que c’est la seule université publique. Je pense que le président va revoir tout ça, installer un campus, et pourquoi pas créer dans chaque province une université", témoigne Karly Elislande, étudiante en droit. 

Le général Brice Oligui Nguema a été proclamé président de transition. Il a promis de nombreuses réformes en faveur des jeunes, notamment dans le secteur éducatif. 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.