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En images La Chine à nouveau frappée par l'"airpocalypse"

Article rédigé par franceinfo
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Une vingtaine de villes chinoises connaît un nouveau pic de pollution. Des mesures, comme la circulation alternée ou la fermeture d'écoles, ont été mises en place.

La Chine affronte un nouveau pic de pollution. Depuis le vendredi 16 novembre, Pékin et une vingtaine de villes chinoises ont été placées en alerte rouge en raison du niveau de concentration de particules finales. Dans la capitale chinoise, par exemple, celui-ci atteint mercredi 360 microgrammes par mètre cube, selon les données du ministère chinois de l'Environnement fournies. Pour lutter contre la pollution, le gouvernement a décidé d'instaurer la circulation alternée. Des usines et des écoles ont également été mises à l'arrêt. 

L'emblématique place Tiananmen, à Pékin, le 20 décembre 2016, est recouverte par un épais "smog" de pollution. La capitale chinoise est en alerte rouge depuis le 16 décembre. (JUN YASUKAWA / YOMIURI)
Les habitants de Pékin tentent de se prémunir contre la pollution avec des masques. Mercredi 21 décembre, le niveau de concentration aux particules-fines s'élevaient encore à 360 microgrammes par mètre cube. Le seuil d'alerte est, lui, fixé à 200. (JUN YASUKAWA / YOMIURI)
Un cycliste avec un masque anti-pollution à Hebei, au nord-est de la Chine, le 20 décembre 2016. Mercredi 21 décembre, le niveau de pollution aux particules fines (578 microgrammes par m3) est presque trois fois supérieur au seuil limite. (HAO QUNYING / IMAGINECHINA)
Un piéton traverse une rue couverte par un nuage de particules-fines, à Lianyungang, dans l'est de la Chine, le 19 décembre 2016. (STR / AFP)
La "tour du Dragon", un gratte-ciel en construction dans la ville d'Harbin, au nord de la Chine, était à peine visible le 18 décembre 2016.  (TAO ZHANG / NURPHOTO)
Une Chinoise réalise un "selfie" à l'intérieur de la "tour du Dragon", gratte-ciel en construction dans la ville d'Harbin. Derrière elle, la ville est enveloppée sous le smog de pollution. (TAO ZHANG / NURPHOTO)
Les fumées rejetées par les nombreuses usines de Tianjin contribuent fortement au smog qui s'est imposé sur la ville.  (LI XIAOFEI / IMAGINECHINA)
Depuis lundi 19 décembre, la ville de Tianjin a mis en place la circulation alternée et fermée des routes pour lutter contre la pollution atmosphérique.  (LI XIAOFEI / IMAGINECHINA)
Des écoliers chinois avec des masques anti-pollution sortent de classe, à Tianjin, le 19 décembre. Mercredi 21 décembre, certaines villes du nord de la Chine, à l'image d'Hebei, ont pris la décision de fermer leurs écoles.  (LI XIAOFEI / IMAGINECHINA)
Un piéton se promène, téléphone à la main, dans les rues de Pékin recouvertes d'un nuage de pollution, mardi 20 décembre 2016.   (WU HANREN / IMAGINECHINA)
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