Droits de l'Homme en Chine : le dissident Ai Weiwei parle
Ai Weiwei vit en résidence surveillée, après avoir passé 81 jours en prison sans motif, sinon de s’exprimer librement dans son art et sur le web. Libéré sous caution le 22 juin dernier, il reste depuis dans le collimateur des autorités, qui l’accusent désormais de fraude et lui réclament de payer sous quinzaine une amende de 15 millions de yuans, soit 1,7 millions d’euros. Des accusations infondées, clame-t-il.
En attendant d’être libéré de ce que Berlin appelait récemment "une véritable persécution", Ai Weiwei communique à tout-va, sur son compte Twitter et son blog en chinois. Des écrits que des supporters anonymes dans le monde entier s’échinent à traduire en anglais sur .
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