Environnement : les trois bonnes nouvelles d’octobre
Les actualités inquiétantes sur le plan environnemental se sont multipliées ces derniers mois, c’est pourquoi NOWU vous propose de découvrir trois bonnes nouvelles écolos qui sont arrivées au mois d’octobre et qui vous remonteront le moral.
- L’Europe dit ciao aux paillettes en plastique
Les paillettes libres en plastique sont officiellement interdites en Europe depuis le 16 octobre, ainsi que les cosmétiques contenant des microbilles plastiques, comme par exemple les gommages.
Cette interdiction fait suite à un texte adopté le 25 septembre qui vise à faire disparaître les produits contenant des microplastiques, comme les détergents, les jouets ou le maquillage. Un pas important pour faire disparaître cette pollution « invisible » mais très présente : 90% de la pollution plastique des océans serait due à ces microplastiques !
- Les footballeurs français vont (enfin) se déplacer en train
Les footballeurs français vont arrêter de prendre systématiquement l’avion ou le car pour se rendre aux matchs.
C’est une avancée pour l’impact écologique du foot professionnel, où la majorité des émissions carbone sont émises par le transport des joueurs et joueuses.
L’équipe de France masculine de football pourrait faire son premier trajet en train en mars 2024, à l’occasion d’un match amical prévu à Lyon. L'équipe de France féminine, elle, prenait déjà le train pour certains déplacements.
- 45 pays s’engagent à donner 12 milliards de dollars pour protéger les coraux
Les pays membres de l’Initiative internationale pour les récifs coralliens (dont la France fait partie) se sont engagés à lever 12 milliards de dollars pour protéger les coraux du changement climatique, de la pollution de l’eau et de la surpêche.
Cet argent devrait servir à protéger 10 500 km2 de récifs de corail, à doubler la surface de zones protégées d’ici 2030, mais aussi à financer les opérations de restauration des coraux abîmés. Sur ce sujet, il y a urgence : 20% des récifs coralliens de la planète ont été détruits et seulement un tiers d’entre eux sont considérés comme étant en bon état.
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