Guerre en Ukraine : vive indignation après les attaques contre des civils
Alors que l’hôpital pour enfants de Marioupol a été bombardé, mercredi 9 mars, Frédéric Joli, porte-parole du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), était invité sur le plateau du 23h.
L’émotion et l’indignation sont fortes après le bombardement d’un hôpital pour enfants de Marioupol, mercredi 9 mars. "Ce sont des images terribles qui rappellent qu’il est bien évidemment interdit de s’attaquer à des hôpitaux, comme toutes les infrastructures nécessaires à la survie des populations civils dans la guerre. Il y a une distinction pour les combattants entre ceux qui se battent, des cibles légitimes, et les populations civiles", a expliqué Frédéric Joli, porte-parole du Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
Le droit international humanitaire
"Ce principe doit être respecté, et il est de la responsabilité de tous les belligérants de faire en sorte que l’on n’assiste pas à ce genre d’images", a-t-il poursuivi. Ce dernier a évoqué le droit international humanitaire dans un contexte de guerre, qui doit protéger un établissement comme celui qui a été visé. "Il faut qu’un hôpital soit parfaitement identifié et notifié auprès de tous les belligérants."
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