Les frappes ont été menées au moyen d'avions de chasse, de drones, de bombardiers et de 47 missiles Tomahawk tirés depuis des navires américains opérant dans les eaux internationales de la Mer Rouge et du Golfe, selon le Pentagone.
Cinq «nations partenaires» arabes (Jordanie, Bahreïn, Qatar, Arabie saoudite, Emirats arabes unis) «ont participé ou appuyé» ces frappes contre les jihadistes qui ont proclamé un califat sur les vastes régions qu'ils contrôlent à cheval entre la Syrie et l'Irak, a-t-il ajouté. Bahreïn et la Jordanie ont confirmé la participation de leurs avions aux raids.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), environ 120 jihadistes ont été tués dans les frappes. Pris de panique les civils, «habitant près de positions de l'EI ont pris la fuite», a ajouté cette source.
Les bombardements ont visé des sites d'entraînement, des centres de commandement, des bases, des dépôts et véhicules armés et des camions de ravitaillement dans les égions de Raqa (nord), le centre du pouvoir de l'EI, de Deir Ezzor (nord-est), d'Hassaka (nord-est) et de Boukamal (nord).
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