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Législatives 2022 : une campagne d'entre-deux-tours marquée par de nouvelles accusations contre Damien Abad

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Législatives 2022 : une campagne d'entre-deux-tours marquée par de nouvelles accusations contre Damien Abad
Législatives 2022 : une campagne d'entre-deux-tours marquée par de nouvelles accusations contre Damien Abad Législatives 2022 : une campagne d'entre-deux-tours marquée par de nouvelles accusations contre Damien Abad
Article rédigé par France 3 - C. Motte, A. Peyrout
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La journaliste Caroline Motte présente, mercredi 15 juin, le journal de campagne des législatives sur le plateau du 12/13.

Mardi 14 juin, de nouvelles accusations ont visé le ministre des Solidarités, Damien Abad. "Il est déjà accusé de viol par deux femmes et hier soir, le site Mediapart a révélé qu'une élue centriste accuse Damien Abad d'avoir tenté de la violer lors d'une fête parisienne en 2010. Un témoignage qui, pour l'instant, n'est pas assorti d'une plainte", explique la journaliste Caroline Motte, présente sur le plateau du 12/13, mercredi 15 juin. Dans un communiqué, le ministre a démenti ces accusations. Damien Abad est arrivé en tête au premier tour des élections législatives dans la 5e circonscription de l'Ain.

Élisabeth Borne interpellée lors d'un déplacement

La Première ministre a été interpellée sur cette affaire, mercredi 15 juin, lors d'un déplacement à Villers-Bocage (Calvados) dans le cadre des élections législatives. "Élisabeth Borne a répondu à une femme, je cite, 'qu'elle voyait uniquement, pour l'instant, des témoignages anonymes et dans la presse et qu'elle incitait ces femmes à porter plainte pour que la justice se saisisse du dossier", rapporte le journaliste Alexandre Peyrout, en direct de Villers-Bocage. De son côté, Emmanuel Macron s'est envolé mardi pour la Roumanie, puis la Moldavie, où il est arrivé mercredi pour rencontrer des soldats français. Il a tenu à répondre à Jean-Luc Mélenchon qui a dénoncé "son mépris pour le second tour des élections". "Il faudra m'expliquer en quoi, venir auprès de nos soldats, est une forme de mépris", a déclaré le chef de l'État.

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