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Copé sur DSK : "la théorie du complot, ça va bien"

Le numéro un de l'UMP Jean-François Copé a jugé lundi sur Europe 1 "dérisoire et triste" l'intervention de Dominique Strauss-Kahn au 20h de TF1 dimanche
Article rédigé par Francetv 2012
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
Jean-François Copé (AFP)

Le numéro un de l'UMP Jean-François Copé a jugé lundi sur Europe 1 "dérisoire et triste" l'intervention de Dominique Strauss-Kahn au 20h de TF1 dimanche

Il a aussi trouvé "choquante" la théorie du complot, allusion à la phrase de DSK : "Un piège ? C'est possible.". Interrogé sur la sincérité de l'ex-directeur général du FMI interviewé dimanche soir sur TF1, il a tranché: "Arrêtons tout cela, je n'ai aucune envie de faire de la psychanalyse de comptoir".

"Ce rendez-vous médiatique nous était annoncé, je souhaite que cela close une bonne fois pour toutes ce feuilleton qui n'a que trop duré", "il y a des sujets majeurs à traiter", a poursuivi le député-maire de Meaux, soulignant que les violences faites aux femmes en restait un.

Copé ne peut "accepter les sous-entendus" de complot
"La théorie du complot, ça va bien, je ne peux accepter les sous-entendus", a encore dit M. Copé. "Ca me choque profondément". "C'est extrêmement choquant qu'on vienne rajouter une théorie du complot à tout ce que nous venons de vivre", a-t-il insisté.

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DSK avait lancé sur TFI: "Un piège ? C'est possible. Un complot ? Nous verrons".

Quant au "pacte de Marrakech", dont l'ancien ministre socialiste a admis l'existence, M. Copé a commenté : "Ce sont des affaires entre eux. C'était assez troublant que ça se passe à Marrakech. Pourquoi pas à Montreuil ou Aubervilliers ?"

Quant aux commentaires de DSK sur la crise économique, le responsable UMP a rappelé la formule: "Les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Merci de juste dire cela de la part de M. Strauss-Kahn - effacer la dette de la Grèce - en foulant aux pieds le travail si difficile des dirigeants européens".

"Préconiser l'effacement pur et simple de la dette grecque, c'est ouvrir les vannes pour toutes les spéculations", selon l'ex-ministre du Budget.

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