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Présidentielle 2022 : l'immigration au cœur des débats Jean-Luc Mélenchon-Eric Zemmour et Valérie Pécresse-Gérald Darmanin

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Présidentielle 2022 : l'immigration au cœur des débats Jean-Luc Mélenchon/Éric Zemmour et Valérie Pécresse/Gérald Darmanin
Présidentielle 2022 : l'immigration au cœur des débats Jean-Luc Mélenchon/Éric Zemmour et Valérie Pécresse/Gérald Darmanin Présidentielle 2022 : l'immigration au cœur des débats Jean-Luc Mélenchon/Éric Zemmour et Valérie Pécresse/Gérald Darmanin (France 2)
Article rédigé par France 2 - N. Fleury, T. Dorseuil
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France 2

À sept mois de l'élection présidentielle de 2022, deux débats ont eu lieu jeudi 23 septembre : d'un côté, Jean-Luc Mélenchon face à Eric Zemmour, de l'autre, Valérie Pécresse contre Gérald Darmanin.

Deux débats simultanés, l'un opposant Jean-Luc Mélenchon et Eric Zemmour, l'autre Valérie Pécresse et Gérald Darmanin, ont été organisés jeudi 23 septembre afin d'ouvrir la campagne pour l'élection présidentielle de 2022. Un thème a dominé au cours de ces deux discussions : l'immigration. Valérie Pécresse, candidate à l'investiture de la droite, a ainsi insisté sur cette question jugée prioritaire par son électorat : "Quand on a une immigration qui est incontrôlée, c'est-à-dire que nos lois ne sont pas respectées, on laisse entrer des personnes qu'on n'a pas choisies (...) et par-dessus, on a une intégration ratée.

Les questions de sécurité au cœur des débats

Au même moment, face à Jean-Luc Mélenchon, leader de La France insoumise, Eric Zemmour, qui n'a pas déclaré sa candidature à l'élection, en a fait le point essentiel d'un discours polémique. "Ce sont les gens comme monsieur Mélenchon et les élites françaises qui, depuis quarante ans, ont fait la folie criminelle de laisser venir des millions et des millions d'immigrés venus d'une civilisation arabo-musulmane", a affirmé le polémiste.

La soirée a également été marquée par les questions de sécurité. "Oui, il y a de l'insécurité, a admis Jean-Luc Mélenchon. Il y en aura toujours plus à mesure qu'il y aura toujours plus de misère et plus de désagrégation de l'école publique." 

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