Loi immigration : "L’idée, c’est qu’on se mette d’accord tous ensemble", affirme le député Renaissance Ludovic Mendes

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Loi immigration : "L’idée, c’est qu’on se mette d’accord tous ensemble", affirme le député Renaissance Ludovic Mendes
Loi immigration : "L’idée, c’est qu’on se mette d’accord tous ensemble", affirme le député Renaissance Ludovic Mendès Loi immigration : "L’idée, c’est qu’on se mette d’accord tous ensemble", affirme le député Renaissance Ludovic Mendes (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - B. Klein
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Ludovic Mendes, député Renaissance de la Moselle, était l’invité politique du 29/20 info, lundi 27 novembre. Il est revenu sur le projet de loi immigration, actuellement à l’étude à l’Assemblée nationale.

Ludovic Mendes, député Renaissance de la Moselle, est le rapporteur de la loi immigration. Ce texte est actuellement discuté en commission, lundi 27 novembre. Durant l'après-midi, les débats ont été agités. "C’est un peu normal. Il fallait bien que les hostilités soient lancées fortement par certains partis politiques. (…) C’est un marathon qui démarre en commission des lois, qui devrait durer jusqu’à vendredi soir [1er décembre]", indique le parlementaire, qui souhaite "faire en sorte que les esprits soient les plus apaisés possible". Il indique que le parti présidentiel "tend la main à tout le monde".

L'article 3 au cœur des débats

Interrogé sur la stratégie de Renaissance, le député répond : "Ce qui est détricoté, ce n’est pas pour faire plaisir à l’aile gauche ou à l’aile droite. On n’essaye pas non plus de faire plaisir aux Républicains de l’Assemblée nationale. Ce qu’on enlève de ce texte pour l’instant, ce sont des cavaliers législatifs, qui n’ont rien à faire dans ce texte." Ludovic Mendes ajoute : "Le sénat a ajouté énormément de choses, (…) le ministre a laissé faire parce qu’il est en discussion avec le sénat."Le rapporteur affirme que le texte "qui va sortir de l’Assemblée nationale" sera "le texte de l’Assemblée nationale""L’idée, c’est qu’on se mette d’accord tous ensemble, sénateurs et députés, pour trouver un accord", assure le député. Concernant l’article 3, il fait savoir : "On a proposé encore quelque chose de différent, différent du sénat, différent du gouvernement."

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