: Vidéo Les pires coups bas de la primaire à droite
Les attaques se font vives au sein du parti Les Républicains, à trois mois de la primaire qui doit désigner le candidat de la droite pour l'élection présidentielle de 2017.
Il faut se méfier de ses amis en politique. Au sein du parti Les Républicains, les coups bas se multiplient à trois mois de l'échéance de la primaire qui doit désigner le candidat de la droite pour l'élection présidentielle de 2017.
"Qui imagine un seul instant le général de Gaulle mis en examen", a ainsi lancé François Fillon, le 28 août lors de son discours de rentrée prononcé à Sablé-sur-Sarthe (Sarthe). L'ancien Premier ministre visait Nicolas Sarkozy, mis en examen dans l'affaire Bygmalion.
"Cela se terminait devant les tribunaux"
Nicolas Sarkozy n'est pas en reste. "Vous vous rappelez les conditions qui m'ont conduit à prendre la responsabilité de notre famille. On ne faisait plus d'élection, parce qu'elle se terminait devant les tribunaux", attaque l'ancien président en référence à la guerre entre François Fillon et Jean-François Copé.
De son côté, Alain Juppé n'a pas hésité à critiquer il y a quelques mois la situation de Nicolas Sarkozy, à la fois chef de parti et candidat officieux à la primaire. "C'est une question morale, en tout cas ne reprenons pas certains pratiques du passé où on confondait un peu les choses", avait déclaré l'ancien Premier ministre sur France info.
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