: Vidéo Nathalie Kosciusko-Morizet "confiante" pour ses parrainages à la primaire
Il ne manque plus que quatre parrainages d'élus à la députée de l'Essonne pour pouvoir participer à la primaire à droite. Mais il lui faut encore une centaine de parrainages d'adhérents.
Va-t-elle y arriver ? Nathalie Kosciusko-Morizet a indiqué, lundi sur BFMTV, qu'il lui manquait encore "quatre parrainages" de parlementaires pour pouvoir participer à la primaire à droite pour la présidentielle de 2017.
Si la députée Les Républicains de l'Essonne est "presque au but pour les élus", "sur les adhérents, il [lui] en manque un peu plus d'une centaine". Elle a ajouté : "On n'est plus très loin du but, mais on n'y est pas encore". Les candidatures seront closes vendredi. Pour pouvoir participer à la primaire, les candidats doivent réunir avant le 9 septembre les parrainages de 250 élus dans 30 départements, dont 20 parlementaires, et de 2 500 adhérents du parti.
Le soutien de Juppé et de Pécresse
Nathalie Kosciusko-Morizet a déclaré que la question de la parité homme-femme n'était pas "le premier argument" qu'elle voulait "mettre en avant", tout en soulignant "qu'un débat dans lequel il n'y a que 5, 6, 7 hommes ce n'est quand même pas un furieux signal de modernité".
Dans sa quête de parrainages, la députée de l'Essonne a notamment reçu le soutien d'Alain Juppé. Le filloniste Gilles Carrez a annoncé qu'il lui apportait son parrainage, de même que la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, qui n'est plus parlementaire.
Sur Radio Classique, Eric Woerth, soutien de Nicolas Sarkozy, a dit souhaiter "que Nathalie Kosciusko-Morizet soit candidate, mais il y a des règles à respecter ! (...) Je suis contre les manipulations et aider, c'est manipuler." Interrogé sur la question de la parité et de la représentativité des femmes dans la primaire, l'ancien ministre du Budget a estimé qu'il "y a beaucoup de femmes qui entourent les candidats".
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