Photographie : voyage au bout du Finistère avec le chasseur d’orages
Par tous les temps, presque chaque jour de l’année, Ronan Follic pose son trépied sur le bord de mer du cap Sizun (Finistère). Il est à l'affût des tempêtes, des orages, mais aussi des matins calmes. Face à l'Île de Sein, sa terre natale, il a pris des centaines, voire des milliers de clichés. “Ici c’est exceptionnel. On a une ambiance particulière ici et puis l’ambiance est spéciale quoi”, déclare-t-il au sujet d’une chapelle au bout de l’île.
“Je suis amoureux de ce pays”
Toujours sur le cap Sizun, une bâtisse isolée à 34 mètres de hauteur est une source d’inspiration pour Ronan Follic, attaché au lieu, bien qu’il ait parcouru la terre entière. “J’ai fait tous les territoires d’outre-mer, le Liban, l’ex-Yougoslavie, la Côte-d’Ivoire. Mais à chaque fois, mon plaisir était de revenir ici. Je suis amoureux de ce pays”, lance-t-il. Pour lui, le plus impressionnant sont les jours de tempête à la pointe du Raz, lorsque la mer se déchaîne sous le vent. Les photos de son Finistère ont fait le tour du monde.
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