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Violences sur mineurs : "Il y a besoin d’une prise de conscience", affirme le directeur des opérations d'e-Enfance

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Élisabeth Borne va dévoiler, lundi 20 novembre, le plan de lutte contre les violences faites aux mineurs. Samuel Comblez, directeur des opérations de l’association e-Enfance et psychologue, est l’invité du 12/13 info pour en parler.
Violences faites aux mineurs : "Il y a besoin d’une prise de conscience de ce que vivent les enfants", Samuel Comblez, directeur des opérations de l’association e-Enfance et psychologue Élisabeth Borne va dévoiler, lundi 20 novembre, le plan de lutte contre les violences faites aux mineurs. Samuel Comblez, directeur des opérations de l’association e-Enfance et psychologue, est l’invité du 12/13 info pour en parler. (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo
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Élisabeth Borne doit dévoiler, lundi 20 novembre, le plan de lutte contre les violences faites aux mineurs. Samuel Comblez, directeur des opérations de l'association e-Enfance et psychologue, est l'invité du 12/13 info.

La Première ministre doit dévoiler, lundi 20 novembre, le plan de lutte contre les violences faites aux enfants. "Il était temps", réagit Samuel Comblez, directeur des opérations de l'association e-Enfance et psychologue, invité du 12/13 info lundi sur franceinfo canal 27. Un tel dispositif "est nécessaire. Les moyens manquent : on le dit en tant que professionnels depuis des années. Il y a besoin d'une prise de conscience de ce que vivent les enfants"explique-t-il.

La nécessaire libération de la parole des enfants 

Selon le psychologue, c'est un plan qui va dans le bon sens. Toutefois, précise-t-il, "comme tous les plans, d'abord il y a le moment des annonces, puis après, il y a le moment des moyens. Il faudra donc voir quels seront les moyens mis en œuvre." Samuel Comblez a également abordé la question de la parole de l'enfant. D'après lui, la difficile libération de la parole des mineurs est en partie due au manque de formation des adultes pour accueillir ladite parole. "Au-delà du plan et des mesures, il va y avoir besoin d'un travail de fond pour montrer que c'est l'enfant, avant toutqui a besoin d'être protégé"conclut-il.  

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