Menace de censure du gouvernement : le dernier appel de Michel Barnier

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Partira, partira pas, Michel Barnier a tenu à s’exprimer au journal du 20 heures dans une interview de 25 minutes afin d’éviter la motion de censure et ses conséquences "potentiellement dramatiques". En cas de chute du gouvernement, il a d’ores et déjà écarté la possibilité d’être renommé à Matignon.
Menace de censure du gouvernement : le dernier appel de Michel Barnier Partira, partira pas, Michel Barnier a tenu à s’exprimer au journal du 20 heures dans une interview de 25 minutes afin d’éviter la motion de censure et ses conséquences "potentiellement dramatiques". En cas de chute du gouvernement, il a d’ores et déjà écarté la possibilité d’être renommé à Matignon. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - B. Mousset, A. Lévêque
France Télévisions
franceinfo
Partira, partira pas, Michel Barnier a tenu à s’exprimer au journal du 20 heures dans une interview de 25 minutes afin d’éviter la motion de censure et ses conséquences "potentiellement dramatiques". En cas de chute du gouvernement, il a d’ores et déjà écarté la possibilité d’être renommé à Matignon.

Michel Barnier a choisi l’hôtel de Matignon pour s’exprimer quelques heures avant le vote de deux motions de censure qui pourraient précipiter la chute de son gouvernement. Un scénario encore évitable selon un Premier ministre encore combatif : "je pense que c’est possible qu’il y ait ce réflexe de responsabilité où, au-delà des divergences politiques, on se dise qu’il y a un intérêt supérieur."

Un renversement inévitable

Pour faire adopter son budget, le Premier ministre a confirmé avoir eu des échanges avec Marine Le Pen, sans pouvoir réussir à convaincre la cheffe de fil du Rassemblement national. "Elle a essayé d’entrer sur une sorte de surenchère" a présenté Michel Barnier, en lui obligeant de faire décider "la non-indexation des retraites ou les médicaments". Malgré l’accord sur la mesure des médicaments, Marine Le Pen compte voter la mention de censure. Tout comme les Socialistes de l’Assemblée nationale qui, pour Michel Barnier, "n’avait qu’une seule idée en tête : le renverser dès sa nomination".

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.