Envoyé spécial le samedi du 20 février 2016
Chaque semaine, "Envoyé spécial le samedi" vous donne l'occasion de voir ou revoir plusieurs reportages du magazine, choisis en fonction de l'actualité et puisés dans le catalogue des vingt-cinq ans de l'émission.
Au sommaire ce 20 février :
- Les fausses promesses du light. A en croire les fabricants, les produits allégés contiendraient moins de sucre, moins de gras et moins de sel et seraient bons pour la ligne et la santé. Pourtant, la réalité est parfois moins appétissante...
- Je m'effeuille donc je suis. Mêlant humour et cabaret, l’effeuillage burlesque a le vent en poupe. Témoignages de trois femmes qui, en se dénudant, ont réussi à se réconcilier avec leur corps.
Pour des raisons liées aux droits de rediffusion, cette émission n'est plus disponible.
Chaque semaine, "Envoyé spécial le samedi" vous donne l'occasion de voir ou revoir plusieurs reportages du magazine, choisis en fonction de l'actualité et puisés dans le catalogue de l'émission.
Au sommaire ce 20 février :
Les fausses promesses du light
Yaourts, desserts, beurre, crème fraîche, boissons, mais aussi chips, pizzas ou soupes… La mode de l’allégé est partout. Même les produits connus pour être riches en matières grasses sont touchés. Désormais, le consommateur peut s’offrir un paquet de chips light ou un pot de glace allégée sans une once de culpabilité. Ces produits sont-ils vraiment moins caloriques et moins gras que leurs équivalents classiques ?
Avec un Français sur quatre qui consomme régulièrement des produits allégés, les géants de l’industrie agroalimentaire ont sauté sur le filon. Ces produits remplis de promesses sont souvent plus chers que les autres, et finissent par représenter un budget conséquent pour les familles. Pourtant, l’aspartame coûterait beaucoup moins cher aux industriels que le sucre classique. Et si ces produits n’empêchaient pas de grossir ? Pire encore, inciteraient-ils à manger plus ? Plusieurs études ont déjà révélé que les édulcorants poussent l’organisme à consommer plus de nourriture. Pourquoi l’aspartame – de plus en plus critiqué pour ses effets néfastes sur la santé – n’est-il pas interdit ?
Une enquête de Laurent Dy.
Je m’effeuille donc je suis
Inventé en France à la Belle Epoque, popularisé aux Etats-Unis dans les années 1950 puis tombé en désuétude, l'effeuillage burlesque fait son grand retour. Cette forme de strip-tease qui emprunte les accessoires et les postures des pin-up est revenue sur le devant de la scène avec Dita Von Teese à la fin des années 1990. Tournée, le film de Mathieu Amalric primé à Cannes en 2010, l’a dévoilée au grand public français. Depuis, des cours ont fleuri un peu partout dans l'Hexagone.
La clef du succès, c’est peut-être que l’effeuillage burlesque s'affranchit des normes de la minceur pour célébrer tous les corps féminins... Le week-end, des femmes de 25 à 60 ans, aux profils et aux morphologies très variés, se retrouvent pour apprendre les techniques du strip-tease et créer leur personnage.
Qui sont-elles ? Que viennent-elles chercher ? Pourquoi éprouvent-elles l’envie de se dénuder en public ? Sont-elles dans la thérapie ou la transgression ? Qu'en pense leur entourage ? Se considèrent-elles comme des femmes-objets ? Blanche Canaille, Louise Berlingot et Cherry Lyly Darling ont accepté de raconter comment l'effeuillage leur a permis de se réconcilier avec leur corps.
Un reportage d’Elise Le Guevel, Frédéric Bazille, Myriam Milant.
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