Royal baby
Faut dire que fille ou garçon, le rejeton de Kate et William
sera classé troisième sur la grille de départ de la succession au trône. Et ce
sera le premier arrière petit enfant de la Reine Elisabeth II, ce qui en fait
une star quasi planétaire. Blue or pink, bleu ou rose, garçon ou fille, "that is the question and the secret is total" malgré une gaffe
récente laissant à penser que ce sera plutôt une girl.
Chez les bookmakers, les prénoms les plus cotés sont
Alexandra, Charlotte ou Victoria ou, pour les mâles, James, Georges et Louis. Soit
dit en passant ils auraient pu aussi penser à François ou Mazarine car une
étude généalogique très fine et très sérieuse indique que le "royal
british baby" sera un cousin ou une cousine très éloigné de l'ancien
Président français Mitterrand. Des liens qui remontent à un ancêtre de tonton
du nom de Jean II de Barbezières, un noble dont les terres se trouvaient aux
confins du Poitou et de l'Angoumois. On va donc surveiller les premiers
braillements du nouveau né, pour voir s'il les prononce à la française "Areu Areu" ou à l'anglaise "Arow Arow".
Cela dit, trêve de plaisanterie, l'heureux événement attendu
par les Windsor et théoriquement programmé dans trois jours tombe au milieu
d'une séquence d'actualité extraordinaire pour le Royaume-Uni. Les cyclistes
anglais brillent sur le Tour de France. Les Lions britanniques et irlandais ont
donné une fessée à l'équipe australienne de rugby et Andy Murray vient de
gagner le tournoi de tennis de Wimbledon. Et peu importe qu'il soit écossais.
Les Anglais l'ont adopté illico.
Le royal baby va donc naître sous de bons auspices avec un
avantage supplémentaire là encore typically british. Fille ou garçon, dans ses
tous premiers jours, il ressemblera comme tous les bébés du monde à Winston Churchill...Spendid,
isn't it ?
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