C'est une chanson qui nous ressemble. "Parlez-moi d’amour", premier hit mondial français

"Parlez-moi d’amour", chanson de Jean Lenoir enregistrée en 1930 par Lucienne Boyer, se répand à travers le monde en version originale, suscitant aussi de nombreuses reprises en français par des artistes étrangers.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Lucienne Boyer, chanteuse française de music-hall, dans les années 30. (AFP)

En partenariat avec l’exposition C’est une chanson qui nous ressemble – Succès mondiaux des musiques populaires francophones à la Cité internationale de la langue française de Villers-Cotterêts, ces chroniques reviennent en détail sur chacune des histoires qui y sont présentées. 

Cette chanson a voyagé partout dans le monde – enfin partout où l’on disposait de phonographes pour écouter le disque 78 tours Columbia de Lucienne Boyer. Et comme la firme Columbia était présente aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Australie, en Allemagne, en Italie… Parlez-moi d’amour est devenu un disque à succès un peu partout dans le monde – c’est même le premier grand tube international d’une artiste française en 1930.

Tant et si bien qu’il s’est enraciné dans la mémoire collective de beaucoup de pays. Il est vrai qu’on n’a pas besoin de parler couramment français pour comprendre les paroles. Voici Ramona Wulf en Allemagne en 1978 et Gigliola Cinqueti en Italie en 1974.

Dans cet épisode de C’est une chanson qui nous ressemble, vous entendez des extraits de :

Lucienne Boyer, Parlez-moi d'amour, 1930

Ramona Wulf, Parlez-moi d'amour, 1978

Gigliola Cinquetti, Parlez-moi d'amour, 1974

Greta Keller, Parlez-moi d'amour, 1932

Carlos Gardel, Parlez-moi d'amour, 1933

Gilles et Julien, Parlez pas d'amour, 1932

Lucienne Boyer, Parle-moi d'autre chose, 1933

Anne Sofie von Otter, Parlez-moi d'amour, 2013

 

Vous pouvez aussi prolonger cette chronique avec le livre C’est une chanson qui nous ressemble aux éditions du Patrimoine.

Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique sur X (ex-Twitter).

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.