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"Célimène" de David Martial : une Antillaise pour rêver

Chaque jour de l'été, nous parlons d’une grande chanson d’amour. Vendredi 7 juillet, la rencontre avec une belle femme venue des Antilles, premier tube en français de David Martial.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
"Célimène" de David Martial (1975). (DR)

Si danser, c’est aimer, la France a aimé Célimène. Non par la coquette dont tombe amoureux Alceste dans Le Misanthrope de Molière, mais cette Célimène-là qui fait chanter à David Martial : "Moi je nage en pleine folie / Cette folie-là c'est la vie / Puisque Je l’aime à la folie / Et qu’elle est belle comme la vie". En ce temps-là, il faut aider le public français à entendre les musiques tropicales. On n’en n’est pas encore à Kassav’ ou à Ceseria Evora qui, plus tard, vont conquérir l’Europe sans rien changer à leur musique ou à la langue dans laquelle ils s’expriment. David Martial, lui, il a commencé comme ça.

Dans cet épisode de Ces chansons qui font l’été, vous entendez des extraits de :

David Martial, Célimène, 1975

David Martial, Paris-les Antilles, 1963

David Martial, Ernestine, 1972

Raoul de Godewarsvelde, La Petite Tonkinoise, 1906 (enregistrement de 1968)

Serge Gainsbourg, Sea, Sex and Sun, 1978

David Martial, Célimène, 1975

David Martial, Célimène, 1975

Serge Gainsbourg, L'Ami Caouette, 1975

Maxime Le Forestier, Né quelque part, 1988

David Martial, Célimène, 1975


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