Ces chansons qui font (vraiment) les fêtes : Brassens au temps de la "calotte chantante"
Dans "Ces chansons qui font (vraiment) les fêtes", nous nous penchons sur la manière dont notre culture populaire aborde la spiritualité. Mardi 27 décembre, nous retournons à une époque où des ecclésiastiques sortaient des disques de variétés.
Il y a des chansons de Brassens qui demandent un peu d’explications, comme Trompettes de la renommée, en 1962, dans laquelle le bon tonton Georges ironise sur ce que l’on appelle aujourd’hui la presse people. Et seuls les plus anciens d’entre nous se souviennent bien du père Duval.
Le père Duval, c’est un peu comme Brassens : une voix, une guitare, des chansons à la première personne du singulier. Ils sont de la même génération, d’ailleurs : Aimé Duval est né en 1918 et Georges Brassens en 1922. Mais le premier est prêtre jésuite et le second est ? Mais qu’est-ce qu’il est, d’ailleurs ?
Dans cet épisode de notre chronique Ces chansons qui font (vraiment) les fêtes, voici ce que vous entendez :
Georges Brassens, Trompettes de la renommée, 1962
Père Duval, La Petite Tête, 1957
Georges Brassens, Chanson pour l'Auvergnat, 1954
Maurice Cocagnac, Abraham, 1958
Sœur Sourire, Dominique, 1962
Noël Colombier, Merci Brassens, 1968
Georges Brassens, L'Assassinat, 1962
Georges Brassens, La Messe au pendu, 1976
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