Les chanteurs veulent-ils être milliardaires ?

Alors que la France soutient l'idée d'une taxation mondiale des plus riches, on peut constater que la chanson aime l'argent, mais prétend volontiers que le vrai bonheur est ailleurs.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
Le gouvernement français a fait savoir cette semaine qu’il est favorable à une taxation minimale des personnes les plus riches, autrement dit, un impôt mondial sur les milliardaires. (Illustration) (MOOR STUDIO / DIGITAL VISION VECTORS / GETTY IMAGES)

Chers auditeurs français, vous ne connaissez peut-être pas Michel Bühler, solide conscience carnassière de la chanson suisse. Et il dit tout d’un coup : dans son pays, il y a des milliardaires et il ne fait pas bon leur demander d’où vient leur argent.  

Vous l’avez entendu cette semaine sur France Info : lors de la réunion des ministres des Finances du G20 à Sao Paulo, au Brésil, le gouvernement français a fait savoir qu’il est favorable à une taxation minimale des personnes les plus riches, ce qui veut donc dire un impôt mondial sur les milliardaires.

 

Dans le second épisode de Ces chansons qui font l’actu, diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :

Michel Bühler, Mon voisin est milliardaire, 2000

Carlos, Les Pieds bleus, 1971

1995, Milliardaire, 2011

Mistinguett, Je cherche un millionnaire, 1928

Coccinelle, Je cherche un milliardaire, 1959

Eartha Kitt, C'est si bon, 1956

Fernandel, Milliardaire, 1934

Mistinguett, Je cherche un millionnaire, 1928

Eiffel, Milliardaire, 2012

Enrico Macias, Les Millionnaires du dimanche, 1967

Orelsan, L'Odeur de l'essence, 2021

Charles Aznavour, J'ai des millions de rien du tout, 1960

 

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Et vous pouvez aussi retrouver sur ce lien le podcast Derrière nos voix, avec les secrets d'écriture et de composition de huit artistes majeurs de la scène française, Laurent Voulzy, Julien Clerc, Bénabar, Dominique A, Carla Bruni, Emily Loizeau, Juliette et Gaëtan Roussel.

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