Quand la chanson salue ses morts
Nous avons déjà rendu beaucoup d’hommages à des artistes disparus depuis le début de cette année. La chanson sait elle aussi saluer ses morts. Et c’est parfois assez surprenant.
Dans le premier épisode de cette chronique ce week-end, vous entendez des extraits de :
Gilbert Bécaud, Quand il est mort le poète, 1966
Léo Ferré, A une chanteuse morte, 1967
Michel Delpech, Pour un flirt, 1971
David Bowie, Space Oddity, 1969
Prince, Purple Rain, 1984
Papa Wemba, Kaokokokorobo, 1995
Billy Paul, Me and Mrs Jones, 1972
L'Affaire Louis' Trio, Chic Planète, 1987
Guy Clark, Cold Dog Soup, 1979
Pierre Desproges, Dernières volontés, 1984
Sarclo, A la mort de Pierre Bache-laid, 2006
Patrica Lavila, Je n'ai jamais vu Jacques Brel chanter, 1975
La Blanche, La Mort à Johnny, 2006
Renaud, Mon bistrot préféré, 2002
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.
Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Pour les professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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