Cet article date de plus de douze ans.

Grossièreté et vulgarité

Il n'y a pas que les footballeurs qui savent jouer du gros mot et du propos dit "grossier"... La chanson en est capable.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (©)

Vous l'avez entendu sur
France Info cette semaine : avec une nouvelle affaire d'injures et de
formules particulièrement vulgaires employées par un footballeur de l'équipe
de France
, nous avons l'occasion de regarder comment la chanson française
joue avec la grossièreté.

Elle s'amuse à frôler les limites, à aller un peu trop loin, pour le
plaisir du frisson.

Les chansons de la chronique d'aujourd'hui :

Des mots grossiers, des mots vulgaires par Gérard
Blanchard (1987)

Ouvr' la fenêtre par Sandrey (1930)

Et voilà les hommes par Mireille (1938)

Les F... par Jacques Brel (1977)

Comme dirait Zazie par Jehan Jonas (1966)

La Ronde des jurons par Georges Brassens (1958)

Grossier par Prohom (2006)

Vous
pouvez également suivre l'actualité de cette chronique

Les livres qui ont accompagnés
nos chroniques des étés précédents, Ces chansons qui font l'histoire et
Les chansons qui ont tout changé ,
sont l'un
et l'autre sur le kiosque de Radio-France
et présentent une centaine d'histoires de chansons historiques, de La
Marseillaise
à No Woman No Cry de Bob Marley, de Ne me quitte pas de Jacques Brel à Tomber la chemise de Zebda, de Rock Around the Clock par Bill Haley à Mignonne allons voir si la rose ...

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