Les victimes collatérales du cadencement à la SNCF
Les horairistes ont planché pendant quatre ans sur les nouveaux horaires des trains. Un travail de titan qui n’a malheureusement pas pu se faire sans victimes collatérales.
C'est notamment le cas de plusieurs dizaines d’adolescents d’un lycée de Tours. Le TGV qu’ils prenaient tous les lundis matin pour se rendre depuis Paris vers leur internat a été déplacé de 35 minutes.
Avec le jeu des correspondances de TER et de bus, ils ne seront plus à l’heure le lundi en cours. Une heure et demie de classe perdue chaque semaine sur toute l’année, cela fait beaucoup, surtout quand on prépare le BAC.
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