Crimes à bronzer : "Sous les vents de Neptune" de Fred Vargas
Il est aussi célèbre que son auteur, le commissaire Adamsberg et ses frasques, ses rêvasseries, son instinct de marcheur
Avec “Sous les vents de Neptune”, Fred Vargas décide d’exporter son enquêteur fétiche. On y aperçoit d’abord le meurtre d’une jeune fille lardée de trois coups de poinçon. Puis, une série de meurtres, tous de même facture, mais réalisés sur une période de plusieurs dizaines d’années. Le tueur au trident est-il de retour ? Peu probable, il est mort depuis longtemps...
Ce qui ramène notre Adamsberg national à son adolescence. Quand son frère fut accusé de meurtre par erreur. L’enquête va alors transporter une partie de la brigade au Canada où ils vont goûter aux méthodes de nos cousins québécois en matière d'analyse d'ADN.
Danglard le fidèle Danglard son adjoint, est resté à Paris pour garder la "maison"
Mais sur le continent américain, Adamsberg fait un mauvais pas. La veille du retour en France, une cuite mémorable et Adamsberg se réveille avec un mal de crâne épouvantable et incapable de se rappeler de sa nuit. Il sera bientôt accusé à son tour de crime. Comme son frères quelques années plus tôt. Un polar qui prend, comme souvent chez Vargas l’allure d’un conte pour grandes personnes, lui qui fut adapté à la télé par Josée Dayan.
“Sous les vents de Neptune” de Fred Vargas est disponible aux éditions Viviane Hamy.
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