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Être ado et résistant pendant la Seconde Guerre mondiale

À l'occasion de la journée de la Résistance, les petits journalistes France Info junior s’intéressent aux ados résistants pendant la guerre.
Article rédigé par Estelle Faure
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Photo de l'interieur du Panthéon © Maxppp)

Ce mercredi, à l’occasion de la journée de la Résistance, quatre grands hommes et femmes, des résistants, rejoignent les noms les plus illustres de l'histoire de France : Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Pierre Brossolette et Jean Zay feront leur entrée au Panthéon, lors d'une cérémonie avec François Hollande. L’un des noms les plus connus associé à la Résistance est d’ailleurs un jeune homme, Guy Môquet. Le militant communiste a été l’un des 48 fusillés en octobre 1941 à Châteaubriant, par les Allemands. Il est notamment connu pour le texte de sa dernière lettre, adressée à sa mère avant d’être exécuté.

Comment vivaient les ados résistants ? Combattaient-ils comme les adultes ? Autant de questions que se posent Imane, Imène et William, en sixième au collège Elsa Triolet de Paris. Pour leur répondre, l'ancienne résistante Colette Marin-Catherine. Avec pour nom de code "la Gosse", dès l'âge de 14 ans, elle a fait partie de ces ados résistants pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle a été ensuite engagée volontaire à la Libération à l’hôpital militaire de Bayeux.

  (FIJ pola ado résistants)

 

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