Un million de bénéficiaires : qui va aux Restos du cœur ?
Ils devaient, à l'origine,
juste donner un coup de main aux plus démunis pour traverser l'hiver. Mais 28 ans après leur création, les Restos du cœur de Coluche sont plus que
jamais indispensables.
Ils ont même franchi un cap tristement historique cet
hiver, en atteignant un million de bénéficiaires, et
130.000 millions de repas distribués.
Heureusement, les dons sont en hausse, pour l'instant... Les dons de nourriture, les dons d'argent et les recettes de la
Tournée des Enfoirés progressent dans les mêmes proportions que les dépenses, mais pour combien de temps encore ? Les Restos se préparent à faire face, prochainement, à une campagne pour laquelle ils n'auront pas assez d'argent ni de nourriture à distribuer.
> A LIRE : L'Eco , l'hebdomadaire qui décrypte l'actualité économique pour les ados, consacre sa Une vendredi 21 février aux Restos du cœur
Cette hausse de fréquentation des Restos du
cœur, les 60.000 bénévoles l'observent depuis cinq ans. Depuis le début de la crise économique en 2008, avec 40 % de bénéficiaires en plus. Et les Enfoirés voient arriver de plus en plus de
femmes seules avec des enfants.
Précisément, qui va aux
Restos du cœur ? Olivier Berthe, le président des Restos, répond aux questions
des abonnés à Mon Quotidien , le quotidien des 10-14 ans.
Au micro : Paul, en CM1, Zoé
et Célénie, en CM2.
Faire un don aux Restos du cœur
Quand les poules parlent anglais
Saviez-vous que
notre cerveau est dimensionné pour apprendre à parler 27 langues
différentes ? Même le mien et même le vôtre ! Et l'on sait aussi qu'à tout âge,
on apprend mieux en s'amusant.
C'est que proposent les éditions
Pocket Jeunesse pour apprendre l'anglais aux enfants, en reprenant des
personnages qu'ils adorent : les fameuses "P'tites Poules", créées par
Christian Heinrich et Christian Jolibois.
J'apprends l'anglais avec
les P'tites Poules est conçu comme un
livre de jeu, et organisé autour de thèmes et de situations de la vie quotidienne.
Les enfants suivent Carmen et Carmelito au poulailler pour apprendre l'anglais.
L'intérêt de commencer l'anglais très jeune est de s'affranchir facilement des difficultés de prononciation.
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