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Paris-2024 : "Pas plus" de 7 milliards d'euros de budget, assure Bruno Julliard, premier adjoint à la mairie de Paris

Bruno Julliard, premier adjoint PS à la mairie de Paris, est l'invité de Yaël Goosz à J-1 de la présentation des anneaux olympiques devant la tour Eiffel pour célébrer l'organisation des Jeux Olympiques de 2024 à Paris.

Article rédigé par franceinfo, Yaël Goosz
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
Bruno Julliard, premier adjoint PS à la mairie de Paris, est l'invité de L'Interview J-1 mardi 12 septembre. (FRANCEINFO)

La maire PS de Paris, Anne Hidalgo, est à Lima, au Pérou, mardi 12 septembre, pour obtenir la confirmation que la capitale française accueillera bien les Jeux Olympiques de 2024. Son premier adjoint, Bruno Julliard, dévoilera, mercredi soir, les anneaux olympiques devant la tour Eiffel pour "envoyer une carte postale au monde entier d'une ville et de Parisiens qui sont fiers et heureux", indique-t-il mardi sur franceinfo.

Le Comité d'organisation estime le coût des JO à 6,6 milliards d'euros, un chiffre bien inférieur à celui des dernières éditions. Alors que l'explosion des coûts est le principal argument des opposants aux jeux Olympiques, Bruno Julliard assure que ce ne sera "pas plus" de 7 milliards d'euros de budget et rappelle l'un des arguments majeurs de la campagne olympique : avec des installations comme le Stade de France, Roland-Garros, Bercy, l'Arena-92, Jean Bouin ou encore le Parc des princes, "95% des infrastructures sportives existent déjà". 

Une tribune pour les contrats aidés 

Interrogé sur la tribune qu'il a co-signée, mardi 12 septembre, dans Le Monde (article payant) avec cinq autres adjoints à la mairie de Paris, pour dénoncer la brutalité de la suppression massive de contrats aidés annoncée par le gouvernement, Bruno Julliard explique qu'il y a "deux raisons qui justifient une prise de position aussi dure : la première c'est qu'on parle du sort de dizaines de milliers de personnes qui, du jour au lendemain, se retrouvent dans une situation de grande précarité (...) la deuxième raison, c'est que toutes ces personnes sont utiles." 

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