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Trois astronautes américains suivent la Coupe du monde féminine de football depuis l'espace

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Le supportérisme n'a pas de limite. Trois astronautes américains l'ont démontré en suivant les matches de la Coupe du monde féminine de football depuis la station spatiale internationale.

franceinfo - Cédric Lang-Roth

Radio France

Publié le 28/06/2019 10:43 Mis à jour le 28/06/2019 10:43

Temps de lecture : 1min

L'astronaute Anne McClain, peu de temps après sa descente du Soyouz, le 25 juin 2019.  (ALEXANDER NEMENOV / POOL) — L'astronaute Anne McClain, peu de temps après sa descente du Soyouz, le 25 juin 2019. (ALEXANDER NEMENOV / POOL)

Christina Koch, Anne McClain et Nick Hague, trois astronautes américains, ont posté il y a quelques jours une vidéo dans laquelle ils expliquent comment ils suivent, depuis l'espace, la Coupe du monde féminine de football. Ils ont en effet installé un écran géant qui leur permet d'observer les matches depuis le cœur de la station spatiale internationale (ISS).

This #FIFAWWC hasn't just been a big deal on earth...

It's been so much bigger than that @NASA | #DareToShine pic.twitter.com/gTg1xF12MQ
— FIFA Women's World Cup (@FIFAWWC) June 24, 2019

Dans ce trio, Anne McClain remporte certainement la palme du supportérisme spatial. L'astronaute adresse régulièrement des messages d'encouragement et de soutien à la sélection américaine. Le 16 juin dernier, elle a notamment posté une photo du Parc des Princes, à l'occasion de la rencontre entre les Américaines et les Chiliennes. Elle a également expliqué qu'elle aurait bien aimé regarder l'intégralité du match, mais que la vitesse de la station spatiale, qui avoisine les 30 000 kilomètres heure, l'en a empêchée.

Game day for @USWNT in Paris @FIFAWWC
- we will be watching! We caught a glimpse of the stadium earlier, but at 17,500mph, we couldn’t stay long. pic.twitter.com/yG4220m2ws
— Anne McClain (@AstroAnnimal) June 16, 2019

Rentrés le 25 juin dernier, après six mois de voyage spatial à bord de l'ISS, ces trois astronautes vont désormais pouvoir véritablement se lever et crier de bonheur, sans les joies et les malheurs de l'apesanteur.