Pâques : à l’approche des fêtes, les pâtisseries se tiennent prêtes
Chez un pâtissier chocolatier de Dijon (Côte-d'Or), cela fait déjà près de trois semaines qu’on chauffe, enrobe, garnit et décore. Tout doit être prêt pour une vente très courte de huit à dix jours maximum. Pour Damien Audax, pâtissier-chocolatier, Pâques représente 30% du chiffre d’affaires annuel. “C’est souvent des œufs, des poules, des lapins. On a des petits moulages extravagants, mais ce n’est pas ce qu’on vend le plus”, lance-t-il.
2 000 pièces chocolatées à faire
Autre atelier, mais même course contre la montre pour une pâtisserie, avec plus de 50 ans d’expérience. Mais la longévité ne gomme pas l’enjeu. Il faut notamment fabriquer 2 000 sujets en chocolat dans les temps, puis les commercialiser. “Même s’il y a des périodes où on fait attention avec l’inflation, les gens marquent le coup et fêtent encore”, note Alexandre Carbillet, pâtissier-chocolatier.
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