Covid-19 : plus de 12 millions de Britanniques ont déjà reçu la première dose du vaccin
Les autorités britanniques ont également rapporté, dimanche, avoir comptabilisé près de 16 000 nouvelles infections en 24 heures, et 373 morts de plus.
Ce qu'il faut savoir
La campagne de vaccination avance outre-Manche. Le gouvernement britannique a annoncé, dimanche 7 février, que plus de 12 millions de personnes ont déjà reçu la première dose du vaccin contre le Covid-19 (12 014 288 précisément). Suivez notre direct.
Israël a entamé son troisième déconfinement. Salons de coiffure rouverts, clients de retour dans certaines boutiques et déplacements de plus d'un km... Israël a commencé, dimanche, à sortir de son troisième confinement, plus d'un mois après sa mise en place fin décembre. L'allégement de ces restrictions intervient sur fond d'intense campagne de vaccination. Depuis la mi-décembre, l'Etat hébreu a vacciné plus de 3,4 millions de personnes (soit près de 40% de sa population), et plus de deux millions d'Israéliens ont reçu une seconde dose.
"300 millions d'euros" pour fabriquer plus de vaccins et de traitements en France. Sur franceinfo dimanche matin, la ministre déléguée chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, a annoncé la relance d'un "appel à projets de 300 millions d'euros pour permettre de fabriquer plus en France, pas seulement des vaccins d'ailleurs, mais également des traitements" contre le Covid-19.
Plus de 20 000 nouveaux cas en 24 heures. Le nombre de contaminations en France (20 586) était en légère baisse samedi par rapport à la veille (22 139), tout en restant sur un plateau élevé, selon les chiffres de Santé publique France. La pression hospitalière continue d'être en léger recul : les hôpitaux français accueillent désormais 27 369 patients, soit environ 250 de moins que la veille. Parmi eux, 3 225 personnes se trouvent en réanimation (-20).
"Tout se jouera sur notre capacité à contrôler la progression du variant anglais." Interrogé par le Journal du dimanche, l'épidémiologiste Arnaud Fontanet, membre du Conseil scientifique, estime que "d'éventuelles nouvelles restrictions" vont dépendre de "notre capacité à contrôler la progression du variant anglais" du Sars-CoV-2. "Si on continue sur cette trajectoire (...) Le variant deviendra majoritaire autour du 1er mars", prévient le professeur.