#OnVousRépond : posez vos questions sur le couvre-feu et les nouvelles mesures contre le Covid-19 annoncées par Emmanuel Macron
Jean Castex et plusieurs ministres doivent tenir une conférence de presse, jeudi, pour préciser ce qu'a évoqué le président de la République mercredi soir.
Ce qu'il faut savoir
Au lendemain des nombreuses annonces d'Emmanuel Macron pour tenter de freiner la pandémie de Covid-19, le gouvernement doit présenter des précisions, jeudi 15 octobre. Le Premier ministre Jean Castex tient une conférence de presse à 14 heures en compagnie du ministre de l'Economie Bruno Le Maire, du ministre de la Santé Olivier Véran, du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin et de la ministre du Travail Elisabeth Borne. Toutes les équipes de franceinfo vous aident à y voir plus clair, grâce à l'opération #OnVousRépond. Voici les réponses à vos questions du jeudi 15 octobre.
Conférence de presse du gouvernement à 14 heures. Le Premier ministre Jean Castex, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, le ministre de la Santé Olivier Véran, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, et la ministre du Travail Elisabeth Borne doivent préciser les annonces du chef de l'Etat.
Couvre-feu entre 21 heures et 6 heures dans toute l'Ile-de-France et pour huit métropoles. Outre Paris, les métropoles de Lille, Grenoble, Lyon, Aix-Marseille, Montpellier, Rouen, Toulouse et Saint-Etienne sont concernées par cette mesure, pendant au moins quatre semaines, a annoncé Emmanuel Macron. Le non-respect du couvre-feu sera pénalisé d'une amende de 135 euros.
"Evidemment, il n'y aura pas de policier derrière chaque Français." C'est ce qu'a déclaré le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, sur franceinfo. "On a confiance dans la capacité des Français à être responsables collectivement", a-t-il ajouté. "Il y aura des contrôles et des amendes (...), avec 1 500 euros en cas de récidive. Il faut que chacun soit conscient des risques et des enjeux, a déclaré Emmanuel Macron, mercredi soir. Les Français ont été exemplaires pendant le confinement, car ils ont compris que c'était pour protéger les plus fragiles et les soignants. Si on ne veut pas prendre des mesures plus dures dans 15 jours ou un mois, il y aura des contrôles."