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New Delhi : un confinement à géométrie variable selon les quartiers

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New Delhi : un confinement à géométrie variable selon les quartiers
New Delhi : un confinement à géométrie variable selon les quartiers New Delhi : un confinement à géométrie variable selon les quartiers (France2)
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En Inde, deuxième pays le plus peuplé au monde, le confinement à cause de la pandémie de coronavirus n’est pas du tout respecté dans certains quartiers. Un quotidien contrasté. Reportage.

Pour faire respecter le confinement, les contrôles sont partout, le premier après 250 m à peine. En tout, 1,3 milliards de personnes ont été confinées. Cela donne des images irréelles de cet immense pays surpeuplé où les habitants semblent avoir disparu. Mais la situation est complètement différente d’un quartier à l’autre. En Inde, des centaines de millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté, parfois dans des bidonvilles. Le confinement est pour eux extrêmement compliqué.

Le chant des oiseaux a remplacé le bruit des klaxons

Ici, pas de chômage partiel et peu d’aides de l’État. Le confinement signifie manquer de tout en attendant des jours meilleurs. Le confinement a au moins eu un effet positif : on n’entend plus les klaxons, remplacés par le chant des oiseaux. New Delhi, qui est habituellement la capitale la plus polluée au monde, laisse maintenant entrevoir un ciel bleu et l’air se fait plus respirable.

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