Cet article date de plus de quatre ans.

Vidéo À l'hôpital Georges-Pompidou, les dons abondent dans le bureau du Dr Philippe Juvin

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 4min
Deux semaines après son appel aux dons lors d'un live avec le journaliste Rémy Buisine, le chef des urgences de l'hôpital Georges-Pompidou voit les courriers affluer dans son bureau.
VIDEO. À l'hôpital Georges-Pompidou, les dons abondent dans le bureau du Dr Philippe Juvin Deux semaines après son appel aux dons lors d'un live avec le journaliste Rémy Buisine, le chef des urgences de l'hôpital Georges-Pompidou voit les courriers affluer dans son bureau. (BRUT)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

Deux semaines après son appel aux dons lors d'un live avec le journaliste Rémy Buisine, le chef des urgences de l'hôpital Georges-Pompidou voit les courriers affluer dans son bureau.

Visières, masques, gants, chaussures, blouses de protection… Après un live de Rémy Buisine avec Philippe Juvin dans lequel il faisait un appel aux dons, notamment de combinaisons de protection, le chef des urgences de l'hôpital européen Georges-Pompidou à Paris reçoit chaque jour un nombre considérable de dons. "De simples particuliers qui m'envoient une blouse, deux blouses, trois blouses… Des gens qui commandent sur un ou tel site marchand", constate Philippe Juvin. Les blouses de protection vont pouvoir être redistribuées dans les services surchargés et en manque de surblouses.

Aider les soignants de proximité

Outre les particuliers, la police scientifique de Versailles s'est également prêtée au jeu et a envoyé plusieurs centaines de tenues. Des entreprises de bâtiment, de ciment, des artisans en ont également envoyé. "Tout ça, c'est grâce à vous. C'est grâce à Brut et puis, c'est grâce à vous tous qui nous écoutez, c'est génial", se réjouit le Dr Juvin. Le médecin encourage également à aider les professionnels de santé qui habitent près de chez soi. "Il y a forcément une maison de retraite à côté de chez vous, il y a forcément un établissement pour personnes handicapées, il y a forcément un médecin généraliste, un dentiste, une infirmière libérale qui a besoin", assure-t-il. Il ajoute : "Les maires sont d'excellents relais, ils connaissent leur population, ils savent où sont les professionnels de santé, ils savent où sont les besoins."

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.