Cet article date de plus de quatre ans.

Vidéo Quand George W. Bush présentait son grand plan anti-pandémie en 2005

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 3min
En novembre 2005, George W. Bush alors Président des États-Unis, présentait un plan de lutte contre une possible pandémie de grippe aviaire.
VIDEO. Quand George W. Bush présentait son grand plan anti-pandémie en 2005 En novembre 2005, George W. Bush alors Président des États-Unis, présentait un plan de lutte contre une possible pandémie de grippe aviaire. (BRUT)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

En novembre 2005, George W. Bush alors Président des États-Unis, présentait un plan de lutte contre une possible pandémie de grippe aviaire.

"Si nous attendons qu'une pandémie apparaisse, ce sera trop tard pour se préparer", lançait George W. Bush. En 2005, l'ancien président américain alertait sur les risques d'une pandémie de grippe aviaire et présentait son plan pour l'appréhender. "De nombreuses vies pourraient être perdues inutilement parce que nous avons manqué d'agir aujourd'hui", estimait-il.

Il rappelait : "Une grippe pandémique arrive quand une nouvelle souche virale émerge et peut se transmettre facilement d'une personne à une autre et pour laquelle il y a peu ou pas d'immunité naturelle. Contrairement à la grippe saisonnière, la plupart des gens n'ont pas bâti d'immunité." Dans sa déclaration, George W. Bush soulignait également le danger d'une grippe pandémique en termes de mortalité : "Elle peut tuer ceux qui sont jeunes et en bonne santé aussi bien que ceux qui sont fragiles et malades."

Lors de ce même discours, l'ancien chef d’État a fait valoir l'importance de se protéger en anticipant. Il insistait notamment sur la nécessié de faire "des réserves de vaccins contre la grippe virale et d'antiviraux." Aussi, la capacité à produire rapidement un nouveau vaccin contre une pandémie virale était, pour lui, primordiale. Enfin, l'ancien Président appelait à l'effort collectif : "Notre stratégie nécessitera les efforts combinés des autorités du gouvernement, de la santé et du domaine médical, vétérinaire et policier et du secteur privé."


Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.