Santé mentale : "Les sportifs n'ont pas le droit d'avoir de problèmes mentaux", déplore l'ex-joueuse de tennis Marion Bartoli

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Durée de la vidéo : 12 min
Santé mentale : "Les sportifs n'ont pas le droit d'avoir de problèmes mentaux", déplore l'ex-joueuse de tennis Marion Bartoli
Santé mentale : "Les sportifs n'ont pas le droit d'avoir de problèmes mentaux", déplore l'ex-joueuse de tennis Marion Bartoli Santé mentale : "Les sportifs n'ont pas le droit d'avoir de problèmes mentaux", déplore l'ex-joueuse de tennis Marion Bartoli (franceinfo)
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Après une carrière au sommet et un titre à Wimbledon en 2013, l'ancienne joueuse de tennis et désormais journaliste, Marion Bartoli, revient dans son livre "Keto Queen" sur sa période d'anorexie. Un récit qu'elle commente dans le "18/20" du vendredi 4 octobre.

L'ancienne joueuse de tennis Marion Bartoli est l'une des rares Françaises à avoir gagné un titre du Grand Chelem durant sa carrière, à Wimbledon en 2013. Devenue animatrice de "Bartoli Time", tous les dimanches sur RMC, elle publie Keto Queen : La santé retrouvée, un livre personnel sur son rapport à l'alimentation. "J'ai eu pendant toute ma carrière de joueuse des problèmes avec mon alimentation, notamment pour contrôler ma ligne, garder un poids de forme", confie-t-elle dans le "18h/20h" du vendredi 4 octobre.

Des propos "extrêmement néfastes"

Et d'aborder son "anorexie", avec "une perte de poids dramatique", après avoir quitté le tennis. "Une épreuve psychologique très importante à gérer", née d'une relation toxique avec un ex-compagnon, confie-t-elle. Un épisode qui l'a poussée à prendre ensuite "40 kilos en neuf mois".

Aujourd'hui, Marion Bartoli salue les prises de parole de sportifs comme Naomi Osaka et Simone Biles sur la santé mentale, érigée en grande cause nationale par le Premier ministre Michel Barnier. L'ex-sportive déplore le traitement "extrêmement néfaste" que font certains journaux des athlètes, "qui n'ont pas le droit d'avoir de problèmes mentaux".

Regardez l'intégralité de l'interview dans la vidéo ci-dessus

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