Stress post-traumatique : des victimes d’attentats plonge pour guérir
Plonger, pour panser des plaies invisibles. Sophie, Valéry et Patrick sont liés à jamais par ce qu’ils ont vu le 14 juillet 2016 sur la promenade des Anglais, à Nice (Alpes-Maritimes). Ce jour-là, 86 personnes ont été fauchées par le camion d’un terroriste. Comme d’autres victimes d’attentats d’une telle ampleur, dont ceux des attentats du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), ces trois survivants souffrent de stress post-traumatique.
“Quand on souffle, généralement, on détend tout”
Ensemble, ils expérimentent la plongée comme remède. “Quand on souffle, généralement, on détend tout”, leur explique un instructeur. Sur le bateau, la tension monte. Depuis huit ans, la mer est le cauchemar de Valéry.
Retrouvez l’intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.
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