Cet article date de plus de cinq ans.

Vidéo Profs accusés à tort

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 33min
Envoyé spécial. Profs accusés à tort
Envoyé spécial. Profs accusés à tort Envoyé spécial. Profs accusés à tort
Article rédigé par France 2
France Télévisions

Après le suicide de Jean Willot, un instituteur de 57 ans qui faisait l’objet d’une plainte pour violences aggravées à l’encontre d’un élève de 6 ans, "Envoyé spécial" a enquêté sur ces profs et instits accusés à tort, qui se sentent lâchés par l’Education nationale.

Le 15 mars 2019, un instituteur de 57 ans, Jean Willot, se suicide après avoir appris qu’il faisait l’objet d’une plainte pour violences aggravées à l’encontre d’un élève de 6 ans. Minute de silence, marche blanche. L’émotion de la communauté enseignante est considérable. Certains profs accusent leur administration d’avoir tardé à accompagner Jean Willot, le laissant seul avec sa plainte.

L'Etat est tenu de protéger les fonctionnaires

Pourtant, selon la loi, l’Etat est tenu de protéger les fonctionnaires contre les menaces, violences, injures, diffamations ou outrages dont ils pourraient être victimes. Comment l’Education nationale gère-t-elle ces cas sensibles alors que de plus en plus de parents portent plainte contre les profs, parfois pour de fausses raisons ?

"Envoyé spécial" a enquêté sur ces profs et instits accusés à tort, qui se sentent lâchés par l’Education nationale.

Un reportage de Nicolas Bourgouin diffusé dans "Envoyé spécial" le 23 mai 2019.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.