Mort de Nahel : une marche blanche un an après
Un après le mort de son fils Nahel, la douleur de Mounia, sa mère, est toujours aussi vive. "Quand je rentre chez moi, j’ai plus personne, j’ai plus mon bébé", déclare-t-elle. Pour les manifestants, le besoin de justice, slogan de cette marche silencieuse, est toujours aussi ardent. Ces derniers réclament également un changement de la doctrine policière, notamment dans les quartiers populaires.
La mère de Nahel demande justice
"Sans caméra, on croit à la version des policiers et c’est ce qu’il faut arrêter", explique une mère d’une victime de violences policières. Ils étaient plusieurs centaines, venus parfois de très loin pour cet hommage à Nahel, peut-être le dernier. Sa mère l’affirme, elle n’aura peut-être plus la force de réitérer une telle opération. Mounia demande à ce que justice soit faite pour son fils et que les policiers mis en cause soient par conséquent sanctionnés.
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