Téléthon 2023 : suivez la soirée spéciale de France Télévisions pour la recherche sur les maladies rares
Ce qu'il faut savoir
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Le Téléthon est de retour. La 37e édition du rendez-vous télévisuel débute, vendredi 8 décembre à partir de 18h40, avec une émission spéciale sur France 2, "Grâce à vous, tout est possible", présentée par Sophie Davant et Nagui. La soirée continuera sur France 3 à 21h40 avec Cyril Féraud et Sophie Davant, en direct dans "Tous en scène pour le Téléthon". Les émissions se poursuivront jusqu'à samedi soir sur les chaînes de France Télévisions.
Trente heures de programmes. En partenariat avec Radio France, France Télévisions diffusera des programmes en direct pendant trente heures en continu afin d'appeler aux dons pour la recherche sur les maladies génétiques, rares, évolutives et lourdement invalidantes. Durant la nuit de vendredi à samedi, des centaines de streamers de jeux vidéo seront notamment sur le pont dans le cadre du "Téléthon Gaming".
Le chanteur Vianney parrain de cette édition. L'artiste de 32 ans confie que, pour lui, cet engagement a "énormément de sens". "Avec le Téléthon, on part avec des thématiques qui sont très difficiles, mais l'idée, c'est d'en faire un rendez-vous joyeux, porteur d'espoir", a déclaré le chanteur sur franceinfo. "On finance, nous Français, un laboratoire, qui change des vies, qui guérit et sauve des vies. C'est une fierté nationale parce que même avec l'inflation, il est prouvé que les Français continuent à donner."
Un seul numéro : le 36 37. Comme chaque année, un numéro de téléphone est ouvert pour les dons. Il s'agit du 36 37, vers lequel les appels ne sont pas surtaxés. Il est également possible d'effectuer un don sur internet, en se rendant sur la page dédiée.
Objectif : dépasser les dons de 2022. Comme le rappelle le chanteur Vianney, les organisateurs du Téléthon espèrent "dépasser les dons de l'année dernière", soit 90,8 millions d'euros."C'est une course contre-la-montre", affirme Vianney, confiant au sujet des familles des malades qui "espèrent, et (...) ont raison d'espérer" que la recherche progresse. L'espoir, "c'est ça qu'on entretient en donnant", estime-t-il.